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Gregory
BAÔO
« Mon art est un pont entre les époques, un murmure de souvenirs pour que jamais ils ne s’effacent. »
Grégory Baôo est un artiste belge né en 1975, un créateur habité par une passion viscérale pour les arts. Depuis toujours, il ressent ce besoin presque vital de transformer le monde avec ses mains, ses yeux, et son cœur. Sculpture, peinture, dessin, photographie : chaque forme d’expression devient pour lui un langage, une manière de capter l’invisible, de sublimer l’émotion.
C’est à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles qu’il forge son identité artistique. Là, il explore, apprend, doute, expérimente… et confirme que la création est sa voie. Pourtant, la vie l’emmène d’abord ailleurs : vers le textile, où il fonde sa propre marque, puis vers le monde du commerce, dans lequel il s’investit de nombreuses années. Mais au fond, son âme d’artiste n’a jamais cessé de battre.
En 2020, dans le silence suspendu d’un monde en pause, quelque chose s’ouvre. Ce temps d’arrêt devient un espace d’élan. Grégory ressent un appel clair : celui de revenir à l’essentiel. À l’art. À ce qui l’habite depuis toujours. Il se lance alors corps et âme dans une nouvelle aventure artistique, nourrie par ses souvenirs, ses racines, et une profonde quête de sens.
La perte de son grand-père, figure lumineuse et centrale dans sa vie, agit comme un révélateur. Elle lui murmure une vérité douce-amère : tout passe. Mais ce qui est créé, partagé, transmis, peut résister au temps. C’est là que naît une nouvelle direction : célébrer la mémoire, transformer la nostalgie en lumière, et faire revivre les icônes d’hier pour qu’elles continuent à inspirer demain.
Dans ses œuvres, le rose devient une signature — symbole de sensualité, de douceur, mais aussi de force. Des mots, des phrases, des fragments de pensée s’y glissent discrètement, comme des confidences silencieuses. Et, pour révéler les détails les plus précieux, Grégory y pose des cristaux Swarovski, éclats d’émotion, éclats de rêve.
Ses créations sont rares, précieuses, réalisées en séries limitées, dans un profond respect de l’intimité de chaque pièce. Rien n’est laissé au hasard. Chaque œuvre est un fragment de lui-même, un hommage, une trace.
À travers son art, Grégory Baôo cherche à créer du lien. À raviver des mémoires. À honorer des regards, des gestes, des époques. Il ne cherche pas à figer le passé, mais à lui offrir une nouvelle respiration. Il façonne des instants suspendus — des ponts entre les générations — dans l’espoir que ce qui touche, ce qui émeut, ne soit jamais oublié.
